jeudi 29 décembre 2011

Grèce News: Déclaration de l’ancien Premier ministre partie 1

Mesut Yilmaz a declare au journal turc Birgün en parlant de l affaire Susurluk que les services secrets turcs s amusaient a mettre le feu aux forets grecs

L editorialiste turc de ORHAN KEMAL CENGİZ du Sunday Zaman en parle

Today, this Susurluk report returns to the agenda once again. Because Ayhan Çarkın, a former member of the special ops team, which is believed to have been responsible for many extrajudicial killings in the ‘90s, started talking, revealing how and where the bodies of the victims of deep state operations were buried.

Yılmaz made some new revelations about the Susurluk report during his interview with Birgün. He said these censored pages were about two incidents: one of them the coup in Azerbaijan, and the other Greek forest fires in the ‘90s. Apparently, these censored pages contained allegations that then Prime Minister Tansu Çiller had allocated money from “secret funds” of the Prime Ministry to be given to some “agents” who would set fire to forests in Greece. This was retaliation against Greece for allowing the Kurdistan Workers’ Party (PKK) to have camps and training facilities within its borders.

No one can claim that Greece backing the PKK is something that a good neighbor would do. On the other hand, this alleged “retaliation” is absolutely unacceptable under any circumstances. What does this show us? If there is an illegal apparatus in one state, it is not only harmful to the citizens of that country but also constitutes a serious threat to all neighbors. Just remember, one of the scenarios of the alleged coup plotters (Sledgehammer) was shooting down a Greek plane to spark a conflict between Greece and Turkey.

These “arson attacks” on Greek forests, if they are true, are terribly ugly. But I really hope that the discussions on these so-called arson attacks will inspire Greeks and Greek Cypriots to consider the value of having a democratic and stable Turkey as their neighbor. A fascist mentality and an authoritarian regime in Turkey would not only kill Turks and Kurds, but also threaten the peace with Greece. This should be pretty obvious to everyone concerned.

On the Turkish side, I hope that Turkey can carry out an independent and transparent investigation into these allegations, which could lead to the punishment of all those responsible for these attacks. The country should also compensate any Greek losses. I do hope that these debates will not end up with the well-known nationalist hysteria which is the root of so many internal and external conflicts in both Greece and Turkey.

[www.sundayszaman.com]

Les editoriaux grecs n en reviennent pas

ELEFTHEROS TYPOS:-«Crime et impunité»: «La déclaration de l’ancien Premier ministre
turc, selon laquelle les services secrets turcs mettaient le feu sur les forêts grecques constitue
l’aveu cynique d’un acte qui n’était pas isolé et qui n’était pas, non plus, l’oeuvre de milieux
extrémistes. Il faisait partie d’une politique, qui continue à être exercée par l’Etat turc et qui
s’inscrit dans le cadre d’une guerre latente contre la Grèce, à plusieurs niveaux. L’incendie
volontaire en est un exemple, le trafic d’immigrés clandestins afin que la Grèce soit minée du
point de vue démographique, économique et social en est un autre. Il y a beaucoup plus. Restonsen
aux aveux de Yilmaz. Ce qu’il décrit est une offensive contre un pays étranger, qui aurait pu
être qualifiée d’acte de guerre. En fait, c’est bien pire: c’est un acte terroriste. Pour l’accomplir,
l’Etat turc a coopéré avec des criminels, des trafiquants de drogue, des exécuteurs, des personnes
recherchées par Interpol et appartenant à des services paraétatiques. La Grèce a le droit de
réclamer le renvoi de la Turquie devant la justice internationale et d’exiger des dédommagements.
Elle n’a pas le droit de ne pas le faire».

Turquie: les médias et la presse d’aujourd’hui (Ta Néa, Elefthéros Typos, Imerissia) relèvent les
révélations faites à un journal turc par l’ancien Premier ministre turc, M. Yilmaz, sur l’existence
de «crédits confidentiels», ayant assuré le financement d’incendies volontaires de forêts grecques,
notamment entre 1995 et 1997. Par la voix de son porte-parole, M. Délavékouras, le ministère
grec des Affaires étrangères a qualifié cette affaire de grave et demandé des informations aux
autorités turques. Soulignant le choc provoqué par ces aveux, Ta Néa note que le gouvernement a
essayé de traiter ces déclarations avec du sang-froid, en évitant de jeter de l’huile sur le feu. Dans
un encadré, le quotidien cite l’ancien ministre de l’Agriculture du Pasok, M. Tzoumakas, qui a
rappelé les aveux, dans le même sens à l’époque, devant la justice turque, faits par des membres
des «Loups gris» turcs, dans le cadre d’un procès pour homicide à Istanbul.
La Nouvelle Démocratie a évoqué des «ombres» dans les relations gréco-turques,
demandé au gouvernement turc des informations ainsi que le rétablissement du tort subi par la
Grèce et réclamé un engagement public catégorique indiquant que ce genre d’opérations ne sont
plus, ni planifiées, ni exécutées par les services secrets turcs. Un communiqué de l’Alliance
démocratique met l’accent sur la gravité de ces déclarations, qui constituent «une affaire politique
majeure». S’exprimant dans les mêmes termes, un communiqué du SYN incite le gouvernement
grec à réclamer des explications, dans l’immédiat. Un communiqué du LAOS a rappelé la
réaction méprisante «habituelle» de l’establishment politique grec, lorsque son président,
M. Karatzaféris, à l’époque député de la ND, avait évoqué l’action de ces agents turcs. Se référant
à des sources gouvernementales et diplomatiques, Ta Néa voit dans les déclarations Yilmaz
l’illustration d’une guerre secrète entre lui-même et l’ancienne Premier ministre turque, Mme
Tansu Ciller.

[www.ambafrance-gr.org]

C etait l epoque de la crise d Imia aussi et aussi d une intervention a la presse turque d un certain Kissinger
en 1997, dans un article paru dans le Turkish Daily , Henry Kissinger déclarait :

" Les grecs sont difficiles à gouverner, ainsi devons nous les frapper au plus profond de leur héritage culturel… Je pense que nous devons porter des coups sur leur langue, leur religion, leur culture et leur patrimoine historique, afin d'éliminer chez eux toute possibilité de progrès, de prééminence et de domination, et qu'ainsi ils n'aient plus rien à dire dans les Balkans, la Méditerranée orientale et le Moyen-Orient, qui sont des zones stratégiques d'une importance vitale pour la politique des Etats-Unis ".
http://ebooks.unibuc.ro/filologie/vasilescu/1/lec1.htm

Ce que Kissinger revait est mis en pratique aujourd hui comme c est etrange

Je m escuse envers tout les grecs que je traitait de paranos lorsqu ils voyaient la main malefique etrangere a toutes nos calamites dites entre guimet catastrophe naturelle,aujourd hui les propos de Mesut Yilmaz,leurs donne raison,tout comme le lynchage tant mediatique qu economique que la Grece vit depuis deux ans

Mesut Yilmaz n est pas n importe qui il fut trois fois premier ministre ,ministre des affaires etrangeres de la Turquie

Sa declaration a ete repertorie par tout les medias turc comme CNN turk

[video.cnnturk.com]

Depuis Mesut Yilmaz essaye de noyer le poisson ,le journaliste turc de Birgün a declare qu il a restranscris mot par mot les paroles de l ancien premier ministre turc sur l affaire Susurluk et que Mesut Yilmaz parlait bien des feux de forets en Grece

reportage de mega concernant les aveux de Mesut Yilmaz

[www.youtube.com]

Aucun journal francais n en a parler ????

Etrange n est il pas,l info date deja depuis deux jours et nous sommes en pleine crise franco-turque concernant la loi contre la negation des genocides

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