Les Etats unis furent impliquer via la CIA directement au coup d etat des colonels en 1967 en Grece
Commencons par les archives de la CIA
THE GREEK POLITICAL SCENE ON EVE OF PARLIAMENTARY SESSION
a la derniere page la onzieme dans se rapport secret et confidentielle de la CIA,il est dit ceci
Should the King decide to institute a dictatorship,a complete polarization of the political spectrum could endanger de present structure of the gouvernement.
In addition,the failure to come to a political compromise in its domestical affairs complicates the country's relations with its neighbor Turkey and increases the improbability of a satisfactory solution to the Cyprus problem
Special report 28 oct 1966
Ce rapport parle que pour sortir de la crise de la democratie politique grecque,le Roi devrait imposer une dictature ce qui fut fait .six mois apres le 21 avril 1967.
Le SHOULD THE KING DECIDE du rapport de la CIA lui date du 28 oct 1966,n est ce pas la preuve de la main de la CIA concernant l avenement de la dictature proclamer le 21 avril 1967 ou Constantin II ,le dernier roi de Grece jura fidélité au nouveau régime
[http://www.foia.cia.gov/search.asp?pageNumber=23&freqReqRecord=undefined&refinedText=undefined&freqSearchText=undefined&txtSearch=greece&exactPhrase=undefined&allWords=undefined&anyWords=undefined&withoutWords=undefined&documentNumber=undefined&startCreatedMonth=&startCreatedDay=&startCreatedYear=&endCreatedMonth=&endCreatedDay=&endCreatedYear=0&startReleasedMonth=&startReleasedDay=&startReleasedYear=&endReleasedMonth=&endReleasedDay=&endReleasedYear=0&sortOrder=ASC]
Sur le lien il ya plusieurs autres archives sur plusieurs pages que je vous laisse lire ou on parle entre autre de la fixation de la CIA et des USA des rellations possible que pouvaient avoir l URSS avec les factions politiques grecque de gauche ou deja avant le PUSH ,Andreas Papandreou etait vu comme un danger pour les interets americains,surtout concernant aussi les bases americaines en Grece mais partout en Europe ou les pacifiques allemands,francais ,belges etc etc demandais le depart des bases americaines sur leur sol,c etait le temps des hyppiers,peace and love et de la crise de Cuba en 1962 on avait faillit avoir la troisieme guerre mondialle ,une gerre atomique si Khrouchtchev n avait pas calmer les adeur americaine dans decoudre qu avait a l epoque comme president,un president malade,presqu handicape moteur ,John Kennedy
Apres la detente avec Khrouchtchev jusqu en 1964 ,a la fin de cette derniere annee, Khrouchtchev fut demi et a sa place un dur des dur du soviet supreme fut au poste Léonid Brejnev qui adopta par sa doctrine Brejnev,une ligne dur qui provoqua une crise encore plus aigue des rellations USA-URSS de la Guerre froide, comme en témoigna l'affaire tchécoslovaque ,sa doctrine fut applique jusqu a sa mort comme en Pologne , ou Jaruzelski imposa le 13 décembre 1981 l'état de siège face à la popularité grandissante du syndicat Solidarność et de son chef Lech Wałęsa, l exemple Polonais et Tcheque est a l URSS,ce qu etaient les coup d etat en Grece et en Turquie pour l USA
L Urss avaient peur de perdre ses satellites du Pacte de Varsovie comme les USA avaient peur de perdre ses allies de l OTAN,ils utiliserent tout les deux les meme procedes
J ai mieux,je vais vous donner les archives du STATES DEPARTEMENT concernant
Foreign Relations, 1969-1976
Greece; Cyprus; Turkey, 1973-1976
VolumeXXX ou tu decouvrera 247 pages en format PDF
concernant les rellations des USA,avec la Grece, Chypre et la Turquie
Concernant la Grece
[http://www.state.gov/documents/organization/96607.pdf]
Concernant Chypre et toute la crise de 1974
[http://www.state.gov/documents/organization/96606.pdf]
et concernant la Turquie
[http://www.state.gov/documents/organization/96609.pdf]
Il est implicitement confirmer que la meilleur solution pour les USA est la partition de l ile de Chypre,la double enosis comme le disaient si bien Kissinger
Que pour Kissinger,makarios etait un danger pour les interets US,vu qu il etait soutenu en ecrasante majorite a Chypre par l AKEL, après l’indépendance, il a soutenu l’archevêque Makarios, président de Chypre.
Demetris Christofias ,l actuel president de Chypre est issus du parti de l Akel et doit etre le seul president d un pays de l U.E issu d un parti communiste,mais aujourd hui,il n y a plus de danger communiste de l epoque de la guerre froide
Créé en 1926, sous le nom de Parti communiste de Chypre (KKK), il était opposé à l'Enosis (union avec la Grèce) et prônait l'indépendance du pays. Il devint illégal en 1931, par décision du gouvernement colonial britannique suite à des émeutes nationalistes. En 1941, les dirigeants de ce Parti interdit fondèrent l'AKEL avec d'autres hommes politiques de gauche. Aux premières élections municipales en 1943, les candidats de l'AKEL remportèrent les mairies de Limassol (Ploutis Servas) et Famagouste (Adam Adamantos).
Tout comme le KKK, l'AKEL était opposée à l'Enosis mais de façon subtile. Il réclamait un processus d'indépendance graduel, qui commencerait par une constitution et un gouvernement autonome ( en concervant le statut de colonie), et ayant pour but l'auto-détermination.
A partir de 1955, l'AKEL s'opposa aux pratiques violentes employées par le mouvement de résistance anti-britannique EOKA. L'EOKA accusa l'AKEL de collaboration avec les britanniques, bien que l'AKEL ait aussi été déclarée illégale en 1955. L'EOKA fut à l'origine de plusieurs assassinats de membres. L'AKEL accusa l'EOKA d'être anti-communiste, notamment sur la base de la participation de Georges Grivas à la guerre civile grecque du côté opposé aux communistes.Le soutient de l Akel a Makarios durant son regne durant les annees 60 a incite ce dernier a devenir membre des non aligne qui pour les USA etait l antichambre de pays pros sovietique puisque les parrains de cette organisation etait Fidel Castro ,Tito ,Nehru et Nasser ,des regimes socialiste ou communiste qui avaient des contacts etroit avec le pacte de Varsovie
Chypre ne pouvait echapper a la sphere americaine,Makarios etait en froid avec la junte des colonel ,les colonels consideraient Makarios comme un pope rouge,dangereux communiste,exploitant a son profit les installations touristique hotelliere du pays a son compte dont les moeurs n etait pas tres orthodoxe,un danger pour l Otan ,ce que les britanniques,eux aussi sentait comme un danger pour leur base a Chypre que Makarios voulait reduire a une superficie minimum,le coup d etat contre Makarios fut commanditer par les colonels avec l appuie des britannique avec le feu vert de Kissinger qui voulait voir Makarios mort
Lorsque Kissinger appris que Makarios n etait pas mort pour lui l incompetence des colonels et de Ioannidis fut a son comble
Pour lui,le simple fait que Makarios soit vivant,donc representant le seul legitime dirigeant reconnu internationalement soutenu par tout les gouverement europeen et qui s etait mis ruse qu il etait sous la protection des britannique dans leur base d Akrotiri fut un casse tete innimaginable pour kissinger qui voyait la grece et la Turquie se faire la Guerre directement,la Grece des Colonels reagisserent directement a la premiere invasion de Kyrenea par les turcs en declarant la mobilisation generale et en amassant des troupe en Thrace
Kisinger fut etonne de la debacle turque lors de la premiere invasion turque ou grec et chypriote resisterent incroyablement,pour gagner du temps il imposa a la Grece de la Junte un blocus non declare d armement pourtant commander en pretextant desprobleme technique de livraison en donnant un message aux Colonels qu en cas de guerre directe contre la Turquie,la Grece serait tres rapidement sans munitions et peices de rechange,le materiel de l armee grecque a l epoque etait a 100% US et dependant des livraison americaine
Kissinger metta la pression aux grecs d accepter des pourparler tout en donnant carte blanche a Ecevit d envahir et de s accaparer plus de 30% du territoire chypriote
Les dialogues entre pontes du states departement Us sont tellement eloquent qu on voyait bien que les USA avaient un parti pris enver la Turquie contre les interet grec,meme au moment ou Ioannidis chuta et fut remplacer par aramanlis
Comme par exemple ces dialogue telephonique qu a eu Kissinger ( K) avec Ecevit (E) et peu apres avec Karamanlis (C)
134. Transcript of Telephone Conversation Between Secretary of State Kissinger and Turkish Prime Minister Ecevit
August 15, 1974, 6:25 p.m.
K: Hello.
E: Hello.
K: How are you?
E: Secretary Kissinger this is Ecevit. Well I can give you an exact time for tomorrow for the end of our operation 12:00 noon New York time latest.
K: 12:00 noon. Ok. Mr. Prime Minister can we inform the Secretary General of the UN of this?
E: Yes and we shall be available for talks at that time if necessary.
K: Ok.
E: Thank you very much.
K: Now Mr. Prime Minister may we inform the Greek Government and the Secretary General of the UN?
E: If you want we can also directly inform the Secretary General of the UN.
K: Give us a few hours and we will inform them then you can inform
them.
E: Ok. Inform them before morning Turkish time. I suppose you know about the resolution at the Security Council.
K: Well I will try to avoid a vote on it.
E: Thank you very much Mr. Secretary.
K: Thank you.
135. Transcript of Telephone Conversation Between Secretary of
State Kissinger and Greek Prime Minister Karamanlis
August 15, 1974, 7:22 p.m.
K: I am sorry to disturb you in the night, Mr. Prime Minister. I first of all wanted to tell you I am sending you a message but I have just had one of many conversations with the Turkish Prime Minister and he has told me they are going to stop military operations tomorrow at 12:00 noon Washington time and I wanted to tell you that we will hold them to this promise.
C [Caramanlis]: They will complete it at 12:00 tomorrow?
K: They will have completed it.
C: They will complete until tomorrow their plans [change?].
K: Well this I cannot judge. But we will in any event take an active
role in the negotiations from now on.
C: I am going to think about this but I am afraid that after this fait accompli it will be a little difficult.
K: We have issued another strong statement today condemning the Turkish action
C: I have heard.
K: . . . from the White House and I just wanted to tell you, Mr.Prime Minister, we will do everything to strengthen your position and show our friendship for Greece.
C: I appreciate it but I am afraid it is a little late. As I said the Turks have created a fait accompli.
K: Well this . . . we have to see what can be done now.
C: Unintelligible . . . to avoid this you know . . . inaudible . . . under the threats and . . . inaudible.
K: I understand this and we are opposed to it.
C: I beg your pardon?
K: We are opposed to a policy of military pressure.
C: Why? As you know, Turkey doesn’t understand the advice in Europe and in your opinion what are they going to do?
K: Well, they have offered to negotiate.
C: After the fait accompli they want to talk. But it is difficult for us to.
K: Well, let me see whether I can think of a procedure. Would you be prepared to pay a visit to the United States?
C: Who?
K: You.
C: I don’t think because you know it is difficult for me to leave the country. We have many problems. The people are very bitter, angry,the armies are upset. It is difficult to leave the country. Maybe a little later, but just now it is impossible.
K: Well, I am sure that maybe our President will be in touch with you tomorrow by cable.
C: Who?
K: President Ford. And let us see perhaps what can be done.
C: Mr. Secretary, I believe you have to get out Turks. The Turks
. . . If they don’t get rid of this obsession it is difficult to get agreement.
K: We will consider it very seriously. I didn’t quite understand what you said.
C: I said the Turks . . . inaudible . . . if they don’t get rid of this obsession,
it is very difficult to get an agreement.
K: With that I agree. There can be no further pressures.
C: But in spite of that the Turks have broken everything. The Greek people think . . . inaudible . . . bit late. Without giving instructions to
the public it is very, very difficult for me to begin again talks.
K: Yes, I understand.
C: Mr. Secretary there is a climate very difficult.
K: Let me report this to the President and we will be in touch with you tomorrow.
C: Yes. I will be here. Yes, thank you.office.
K: Mr. Prime Minister if you have any proposal we would look at it very seriously as to what should be done.
C: In my opinion you have to do something more than give advice to the Turks.
K: If you have any concrete suggestion, we would be prepared to look at it very seriously.
C: I am going to answer your message today.
K: Good. I look forward to hearing from you Mr. Prime Minister.Good night.
C: Good night.
J ai pris juste cet exemple pour montrer combien Kissinger etait un fourbe et avait un parti pris vis a vis des turcs jusqu au boutiste
Tout mes liens du States departement viennent de ce lien
[http://www.state.gov/r/pa/ho/frus/nixon/xxx/]
Et on s etonne apres que les grecs sont anti-americain
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